Dallas Stoneham | Blurry

» Identité :

Nom : Stoneham
Prénom(s) : Dallas, Keeley. Puisqu’elle chérie (ou déteste, qu’en sait-on vraiment) ses deux prénoms au même degré, il lui arrive de se présenter un jour sous l’un, le lendemain sous l’autre.
Surnom(s) :
Âge : 20 ans. À son grand malheur, elle n’a pas encore atteint l’âge béni de la majorité américaine.
Date de naissance :
Lieu de naissance :
Nationalité : Américaine pure souche
Occupation :



» Capacités :

Capacité : Empathie : Faculté de percevoir le ressenti d’autrui.
Dallas possède une faculté rare et complexe, qui lui vient néanmoins tout naturellement. Elle parvient, à distance, à comprendre et identifier les émotions et sentiments de ceux qui l’entourent. À première vue, le don emphatique semble facile à comprendre. Malheureusement, les émotions ne lui viennent pas clairement, ne s’inscrivent pas dans une paroi de son crâne. Un regard sur quelqu’un met en œuvre un mécanisme psychique qui lui fait percevoir des formes, des couleurs, d’où se dégage les sentiments ressentis. Quelqu’un qui verrait par ses yeux parlerait sans doute d’aura ; Dallas, elle, a compris que ce n’est pas le cas. Les années lui ont permis de s’adapter à cet éventail de motifs, de se créer une légende par rapport à ce qu’elle perçoit. Identifier les émotions d’autrui lui est donc venu naturel.
Une facette moins maîtrisée de son pouvoir lui permet également de transformer, à sa guise, ces démonstrations de formes et de couleurs. Telle une artiste, il lui sera un jour possible de repeindre les émotions des autres selon ses goûts, transformant le cubisme rouge sang de la haine en l’amalgame de rondeurs vertes de la sérénité.
Moment de l'apparition : Dallas ne saurait mettre une date précise sur le calendrier, ni même un mois. Elle a l’impression que sa capacité a toujours fait partie intégrante d’elle-même, qu’elle a vu le jour avec le pouvoir de déchiffrer le cerveau humain. Sa mémoire confond pouvoir et intuition. Ses réelles capacités –qui s’avère ne pas être du domaine de la perspicacité- lui ont été confiées alors qu’elle fêtait son neuvième anniversaire.
Degré de maîtrise : Son pouvoir se divise en deux part distinctes. La première, à savoir la compréhension des états d’esprit des autres, est parfaitement maîtrisée. Avec le temps, Dallas a su s’habituer aux nuances des sentiments et à identifier même les plus légères nuances des émotions. Aujourd’hui, elle sait déceler jusqu’aux petites contradictions sentimentales, et fait une parfaite distinction entre les émotions pures et celle que je sujet rejette. C’est à sa perspicacité de faire le reste. Le segment de son pouvoir qui devrait lui permettre de modifier les sentiments de ses ‘victimes’ relève par contre du défi. La concentration, l’effort n’est jamais suffisant à modifier un aspect significatif des émotions qu’elle souhaite transformer. Dans les pires moments, elle ne parvient qu’à transposer ses propres états d’âme sur celui qu’elle visait. Un accident complet qu’elle exècre au plus haut point.
Rapport à cette capacité : La relation entre Dallas sa capacité est, jusqu’à preuve du contraire, bien claire. Elle l’adore. Même si elle ne trouve pas ce pouvoir extrêmement puissant (nous ne parlons pas ici de contrôle de l’humain ou lecture à volonté de ses pensées), elle entretient avec lui un rapport d’amour un peu fou, d’impression de pouvoir et de confiance qui lui plait. Avec lui à ses côtés, elle se sent différente, forte, supérieur à la moyenne de la race humaine qui n’aura jamais la moindre idée de ce que ses yeux à elle voient. Avec le temps, elle a compris qu’il était peu malin de crier sa différence sur tous les toits ; cela ne signifie néanmoins pas se cacher. Jamais elle ne se renfermerait sur elle-même dans le seul but de paraître identique aux autres.
Connaissance du Labo : Non seulement Dallas est nouvelle en ville, mais son intérêt pour son nouveau foyer se limite à son futur emploi, aux quelques personnes qui ont attiré son attention et aux lieux divertissants de la ville de Salem. Jusqu’à maintenant, elle n’a porté aucune attention au dit Labo et son évocation parfois mystérieuse n’a pas encore attisé sa curiosité. Pas encore.


» Psychologie :

Traits de caractère :Dallas est la personnification simple et parfaite de la jeune fille qui a grandi trop vite, de l’enfant qui n’en a jamais été un et qui sera toujours trop vieux pour son âge. C’est un choix ; la candeur de l’enfance ne lui a jamais manqué, la tranquillité de la banlieue ne lui a jamais plus. Habituée dès son plus jeune âge à ne compter que sur elle et elle seule, même lorsqu’elle aurait pu faire confiance, Dee est quelqu’un d’affreusement indépendant, qui ne supporte aucune forme d’autorité peu importe sa provenance. Son caractère entier, en faite, est forgé dans le but de l’éloigner le plus possible du monde extérieur. Les plus sensibles pourraient y voir une lueur de détresse, les plus cyniques une preuve supplémentaire de la folie qui l’habite. Quelle importante, dirait-elle. Elle dégage constamment cette aura d’indifférence presque dérangeante (rectification, définitivement dérangeante), ce ‘Je-m’en-foutisme’ qui se reflète tout autant dans ses paroles que ses pensées, dans ses pensées que son attitude.

On la croirait parfois plongé dans un autre monde, tant sa façon de voir les choses peut semblée égoïste ; calculatrice, Dallas agit dans le but de s'amuser. Toujours, continuellement. Elle trompe, allume, blesse et manipule dans le seul but de se moquer, encore et toujours, de rire peu importe l'état de ce qui lui a servit de jouet pendant un court laps de temps. Court, évidemment, puisqu'elle se lasse à la vitesse de l'éclair. Elle a, elle jette, elle reprend, elle se débarrasse... Elle fait fondre les plus solides, résiste aux plus entreprenant avec un sens du jeu déroutant.
Volontairement, elle s’est construite ce mur impénétrable de force, indifférence et sarcasmes qui la couvrent en tout moment, comme si elle ne se laissait jamais de répit. Un mur que se créent à la base celles qui veulent être quelqu’un d’autre. Mais à force de se croire rebelle, de vouloir le devenir et d’agir en tant que tel, on finit, inconsciemment peut-être, par en devenir réellement une. On dénigre l'autorité, on ne supporte pas l'affection et ne permet pas les divergences d'opinions. Du Dallas tout craché. Elle ne prend personne en considération à moins d’avoir à y gagner, et n'obéit qu'à une seule règle : Écrase ou laisse-toi piétiner. Sa position a été aisée à choisir. Impulsive et revêche, c'est une jeune fille qui a grandi trop vite en en se répétant qu'il ne faut jamais se montrer faible ou vulnérable. Elle ne dévoile jamais ses sentiments, mais ne se gène pas pour autant à hurler haut et fort ce qu'elle pense. Elle a, en apparence, une confiance en elle-même absolue, et inexistante envers les autres.

Il y a pourtant cet éclat, parfois, dans ses yeux. Une lumière, faible et furtive, qui permet à tord de rêver.

Manies : Dallas est une jeune femme bourrée de petites manies souvent discrètes et ignorées. Elle ne supporte pas d’avoir la moindre mèche ébène au travers du visage et secoue fréquemment sa crinière brune. Certains observateurs ont vu une évidente (et fictive) dépendance à la cocaïne à la façon dont elle passe son index sous son nez, souvent et inconsciemment. Son briquet est pour elle source de jeux inépuisables et elle peux passer des heures à briser le silence en ouvrant et fermant son feu. Certaines personnes remarqueront aussi qu’il lui arrive de fixer différemment les gens, comme si elle ne regardait pas eux mais autour d’eux.


» Autres :


Avatar : Anne Hathaway


Fille ou garçon : Celle qui agresse ^^
Comment avez-vous connu le forum ? Par ma Quiche chérie des plaines et des vallées
Commentaires : J'aime, j'aime, j'aime

» Biographie :

Patrimoine génétique :
Moment(s) de l'enfance :
Moment(s) de l'adolescence :
Quincy étant une petite ville, le temps fut court avant que les fresques de la plus jeune des Stoneham ne soit monnaie courante dans les rues. Celle qu’on considérait autrefois comme une enfant parmi tant d’autres possédait maintenant une réputation qui faisait grincer des dents les parents de banlieue. Bienveillants –chiants, surtout- les adultes de la ville où elle avait vu le jour se faisait devoir de jeter un œil constant sur Dallas. Elle n’avait plus moyen de se promener nulle part sans qu’un de ses nombreux parents lui lance un remarque telle « T’es pas sensée être en cours ? », « Ta mère sait que t’es là ? » et ce jusqu’à ce que la belle se lasse.
C’est pourquoi l’opportunité de déménager ne déclancha chez elle aucune larme, au contraire.

« Je pars. », déclara un beau soir Dallas Stoneham avant d’engloutir une bouchée de son repas. Loin de craindre la réaction de sa mère et de sa sœur, elle avait annoncé cette nouvelle avec indifférence. La mère Stoneham arqua un sourcil septique alors que sa sœur aînée relevait brusquement la tête.
- Tu pars ?! répéta Charlotte d’une voix exagérément aigue.
- Alex et moi, on va rejoindre mon père.
- Impossible, trancha sa mère. Non seulement ton père se fiche de votre sort, mais tu n’as aucune idée de l’endroit où il se trouve. La mauvaise humeur perçait dans ses paroles qu’elle prononçait néanmoins avec le plus de calme possible.
- Apparemment, je sais où il est, moi, puisque c’est l’endroit où je vais, répliqua aussitôt Deena en soutenant le regard maternel.
- Tu ne nous verras plus jamais, lança Charlotte qui croyait ainsi assombrir tous les espoirs de sa cadette. Échec.
- Oh pauvre de moi ! répondit cette dernière en se levant de table. Son message était passé, il n’y avait plus rien à dire.

Sa mère n’était pas de cet avis. Les mains ancrées à la table, sa génitrice se leva à son tour.

« Je refuse que tu quittes cet endroit. »

Son interdiction ne sembla absolument pas bouleverser sa plus jeune fille et elle se sentit obligée de le répéter.

« Dallas Stoneham, je t’interdis de quitter Quincy ! »

D. daigna finalement jeter un regard à sa mère, et s’approcha lentement d’elle en fouillant dans sa poche. Stoïque, Miranda attendait, probablement convaincue qu’elle aurait droit à de plates protestations qui cloraient l’histoire. Charlotte, elle, suivait sa sœur des yeux avec un regard que l’on adresse habituellement aux soaps de mauvais goût.
Après maintes recherches, Dallas extirpa finalement de la poche arrière d’un jeans trop serré une carte qu’elle présenta à sa mère.

« Qu’est-ce qui est écrit ? », demanda-t-elle mollement à sa mère. Celle-ci lui envoya un coup d’œil septique mais devant l’insistance du regard de sa fille, elle baissa les yeux vers la carte.

- Dallas Keeley Stoneham.
- Plus bas.
- 5 décembre 1988.
- À droite.
- 19 ans.
- Et voilà ! s’exclama la jeune fille en levant les bras au sol, faisant ainsi sursauter mère et sœur.
- Voilà quoi ?, répliqua son aîné en haussant les sourcils.
- 19 ans. Libre de mes déplacements. Rien à foutre de vous, expliqua Kee en tournant les talons. Elle avait des valises à faire.

* * *

Quelques jours plus tard, elle était partie. Sans avertir personne de la date exacte, elle avait chargée ses valises dans la voiture qu’Alex avait ‘empruntée’ à ses parents et s’était volatilisée. Pas sans laisser un dernier message d’amour, par contre. À son retour du travail, sa mère eu le bonheur de trouver une note rapidement barbouillée sur un bout de papier que sa cadette avait laissé sur son oreiller, aux côtés d’un petit coffre grand ouvert.
La garce s’était enfuie avec ses économies.


Moment(s) de l'âge adulte :
Dallas enfila prestement un short blanc de pyjama on ne peut plus court, adorablement orné de cornets de glace quelconque aux teintes multicolores, et secoua son épaisse crinière brune. Sans un regard pour son colocataire qui s’était assoupi, elle sortit de la chambre et prit le chemin de la porte d’entrée. Elle ne prit pas la peine de diminuer le volume de sa chaîne stéréo, ni même de poser les yeux sur l’horloge qu’elle ne pouvait, logiquement, ignorer. Après tout, une horloge murale qui indique une heure du matin devrait sauter aux yeux de n’importe qui de normal.
Dallas claqua la porte de son appartement derrière elle et prit place devant celle de son voisin, le poing levé. Elle prit un instant pour secouer une deuxième fois ses mèches brunes et frappa finalement plusieurs coups consécutifs à la porte voisine. Imperturbable, elle laissa passer quelques secondes et répéta son geste. Il y eu signe de vie à l’intérieur de l’appartement, puis quelques bruits de pas étouffés, et la porte s’ouvrit finalement sur une Dallas fraîche et souriante. Nullement mal à l’aise, elle croisa les mains derrière son dos et leva un regard amusé vers le Laurence aux traits quelque peu tirés qui lui faisait face. L’image des deux voisins, l’une nu pieds et bien peu couverte par son débardeur noir et son short, l’autre vraisemblablement somnolent et encore moins couvert par sa paire de caleçons aurait paru bien dérangeante aux yeux des autres habitants de l’immeuble, mais Dallas ne laissa pas la situation devenir stagnante et attaqua la première :

« Voilà comment devraient s’accueillir les voisins entre eux », fit-elle remarquer en étirant ses lèvres dans un sourire qui laissait deviner qu’elle n’avait rien manqué de la tenue de son interlocuteur. Ce dernier exposa un instant la célèbre grimace de ceux qui commencent à comprendre ce qui se passe, et ouvrit la bouche pour répliquer quelque chose qu’il n’eu jamais le temps d’exprimer.

- La musique n’est pas trop forte ?
- La musique ?
- Celle qui sort de mon appartement et fait trembler les miroirs, expliqua-t-elle alors que Laurence prenait pour la première fois conscience de la dite musique.
- Pas spécialement.
- Ah non ?
- Tu veux vérifier peut-être ? répliqua-t-il au tac-au-tac en relevant le coin de sa bouche en un sourire divinement sexy.
- Puisque mon nouveau voisin insiste… Dallas haussa les épaules avec désinvolte et à peine Laurence s’était-il effacé du cadre de la porte qu’elle s’était faufilée dans l’appartement, un sourire satisfait aux lèvres.

Les mains toujours serrées derrière elle, Dallas fit quelques pas errants dans l’appartement. Elle sentit le regard de Laurence derrière elle la détailler autant qu’elle s’était permise de le faire et elle pivota brusquement, manquant de percuter l’homme qui venait à sa rencontre. Nullement perturbé par la rapidité et la proximité de sa voisine, Kargeer baissa les yeux vers Dallas et ses lèvres de couvrirent à nouveau d’un sourire légèrement mutin.

- Satisfaite ?
- Absolument, répondit-elle en lui adressant un de ses regards qui auraient fait rougir n’importe quel homme normal. Sans un mot de plus, elle frôla son voisin, prit la direction du couloir et referma la porte d’entrée derrière elle. Quelle belle façon de faire connaissance avec son voisinage.

JENNIFER




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* J'attends un peu pour pas plomber ta fiche avec du flood en plein milieu *



EDIT : Oups j'ai tout planté
Désolé ma SA

On s'en fiche, un Michael, ça met un peu de vie entre deux bloc de texte
Merci ma AP

Ma Chieuuuuuse
Ben oui tu reste ma chieuse même si t'as pas le même vava
Bienvenue à la maison

Reine des quicheeeeees

Rho dis donc, tu sais que tu es née pile une semaine avant moi ?

P' [l'habitude xD, à modifier] > Ça me va tout à fait Merci


Ma quiche des vallées
Mais c'est un signe ! Les quiches dominent en juin, c'est connu

Aaaaah trop bien le vavaaaaa

On est des quiches de printemps gémeaux

Zaz' > J'ai cherché le copyright pendant 5 minutes comme une démente sur ton vava juste pour être certaine et archi assurée de pas me tromper
Merci

Quichette > Quiche + Gémeaux, attend c'est limite la perfection à l'échelle planétaire là

Yeaaaah il était steack haché
Désolée

Boooooooonzouuuuuur

Biiijour

Manque plus qu'on se trouve quelques lardons fumés en guise d'esclaves et là c'est la perfection

Ava Jennings a écrit:

On s'en fiche, un Michael, ça met un peu de vie entre deux bloc de texte
Merci ma AP

Si tu le prends comme ça alors ça va

Stoneham!! C,est le nom d'une montagne ici!!

Bienvenue

Ah bah c'est plus Jen'
Mais j'aime aussi c'est la demoiselle de Le diable s'habille en Prada

Bailey > J'avais espoir que personne ne s'en rende compte

AP > Ça m'a brisé le coeur de me séparer de Jen', mais Anne elle est migonne aussi ouais

Nanette > T'aimes pas que les blondes toi ? (Sauf exception Dushku xD)


Ma Prima Ballerina

J'vais éditer la liste des ava

Toi t'es la meilleure Quiche Gémeau que je connaisse

Dupond > Si, mais il y a quelques exceptions dont Anne Elle te va trop bien en plus !