Deavon Kaine | Heterodebiloman

» Identité :

Nom : Kaine
Prénom(s) : Deavon, Judd
Surnom(s) : Dee est le surnom qu'on lui a toujours attribué. Dédé ( prononcé avec un accent français approximatif ) est beaucoup moins courant et apporte souvent des ennuis à celui qui l'utilise.
Âge : 28 ans
Date de naissance : Le 17 mars
Lieu de naissance : Dallas, Texas, Etats-Unis. C'est tout du moins ce qui est indiqué sur son dossier d'adoption.
Nationalité : Américaine
Occupation : Lieutenant de police



» Patrimoine relationnel :


(C) Emma
Lorenzo Donnovan
Michael Weatherly
Depuis son arrivée au poste de police de Salem c’est perpétuellement la fête pour Deavon qui a trouvé en Lorenzo le grand frère idéal. Possédant un sens de l’humour très proches ils s’entendent comme larrons en foire et sont les principaux responsables de toutes les petites blagues qui ont lieu au commissariat. Jamais en panne d’idées ils sont devenues les bêtes noires de certains collègues qui sont devenus leur cibles préférées. Mais leur complicité va bien au delà des simples coups qu’il peuvent monter. Une réelle amitié s’est tissée entre les jeunes hommes et Dee a fait de lui son confident, allant jusqu’à même lui faire des confidences sur ses relations sentimentales. Pratiquement rien de ce qui se passe dans la vie de Deavon n’échappe à Lorenzo et le jeune lieutenant de police a parfois l’impression que Donnovan n’est pas totalement honnête avec lui. Avec le temps ses soupçons ne font que se confirmer et il commence non pas à se méfier mais a garder un œil attentif sur chacun de ses agissements.


(C) Misty_writes
Bryn Chasen
Katie Cassidy
Les neurones de Deavon ont tendance à légèrement déraillé quand Bryn se trouve dans les parages. Blonde, sulfureuse, bien foutue, pour ne pas dire over-sexy elle correspond parfaitement à l’idéal du jeune homme. Il a d’ailleurs au départ tenté de la séduire en utilisant sa technique de drague habituelle mais ayant essuyé de nombreuses rebuffades il a fini par abandonner. S’est alors installée entre les deux jeunes gens une sorte de mini-guerre savamment arbitrée par Lorenzo qui essaye de jouer le médiateur entre-eux. Quand ce n’est pas l’un qui titille l’autre c’est les deux qui se vannent. Leurs propos sont d’ailleurs bien souvent assez violents et dépassent de loin leurs pensées. Sans arrête en compétition sur le terrain c’est à celui qui réussira à épater l’autre à coup d’arrestations musclées ou d’interrogatoires enflammés. En réalité Deavon est assez perdu face à la blondinette car il n’arrive pas à savoir ce qu’elle pense de lui ni par quel bout la prendre. Une première chez le jeune homme qui a toujours été assez confiant quant à son pouvoir de séduction. Les rares fois où elle se montre conciliante il n’est capable que de lui sortir que son numéro de clown charmeur un peu lourd et elle ne tarde jamais à le remettre à sa place.


(C) Littlemuff
Dylan Fitzgerald
Rachel Bilson
Dylan est sans doute la relation amoureuse la plus sérieuse que Deavon ait jamais eu. Ils se sont rencontrés alors qu’elle était au lycée et que lui poursuivait ses études à l’université. Bien qu’ils aient quatre ans de différences ils se sont très vite sentis proches et ce qui n’était qu’une séance de drague dans une soirée bien arrosée d’étudiants s’est transformé en petite romance. Si au départ leurs différences les ont amusés Deavon s’est très vite senti diminué aux côtés de la jeune femme bien qu’elle ne cherche jamais à le faire se sentir minable. Il fit de nombreux efforts pour s’améliorer et être à la hauteur mais l’éducation de Dylan l’avait habituée à mener la vie d’une princesse et les maigres économies du jeune homme étaient malheureusement insuffisantes pour satisfaire les caprices de sa dulcinée. Le bal de promo de l’adolescente a été la goutte d’eau de trop. Conscient qu’il ne pourrait jamais s’intégrer dans son monde de paillettes il a rompu avec elle au court de la soirée. Ils ne se sont plus jamais revus depuis.


(C) Lemche
Rachael Nielsen
Jessica Alba
Deavon aime sa ville et ses habitants, et son souhait le plus cher est actuellement de démanteler le réseau mafieux. Il s'est donc rendu une fois au Speakerphone et il y a repéré une figure connue des services de police mais contre laquelle il n'avait pas de preuves : Drew Connor. Il sait par expérience que cet homme est en contact avec la mafia et qu'il pourrait connaître des informations capitales. Il ne remarqua pas que lui cela dit, la belle et sulfureuse danseuse qui le distrayait aussi. A la fermeture de la boite, il l'aborda dans la rue et essaya de la convaincre de l'aider. Il usa de tous les arguments possibles : argent, lui obtenir un logement, un boulot décent mais il sembla que le simple fait d’œuvrer pour le bien lui fut suffisant et elle accepta. Depuis ils sont en contacts réguliers afin qu'elle lui donne tout ce qu'elle sait, et une amitié s'est tissée entre les deux protagonistes, si bien que s'il advenait quelque chose à Rachael, Deavon s'en voudrait terriblement.

>> PLUS ?

» Autres :

• Il possède une chevrolet impala de 1967 qu’il bichonne comme son bébé. Gare à celui qui voudrait la rayer. C’est une voiture qu’il a entièrement rénovée seul lorsqu’il était adolescent. Il a ramé pour payer chaque pièce et lui donner un aspect correct. C’est la seule chose de « valeur » qu’il possède et il la traite avec plus d’égards que n’importe laquelle de ses conquêtes.
• Il ne prend jamais l’avion. Pourquoi ? Parce que !
• C’est un ventre sur pattes.
• Il manie les armes à feu avec une grande dextérité mais fait preuve de beaucoup moins de précision dés qu’il s’agit d’armes blanches.
• Il adore le thé. Même s’il ne rechigne jamais devant une bonne tasse de café il se laissera plus facilement tenté par une bonne « infusion ». Il en a d’ailleurs toute une sélection dans l’un des tiroirs de son bureau. Seul hic, il a tendance à oublier les sachets usagés un peu partout et certains de ses dossiers sont agrémentés de magnifiques petites auréoles brunes.
• Il est fan d’Antonio Banderas. Ne demandez pas pourquoi lui même serait incapable de vous donner une raison valable. Depuis qu’il a vu certains de ses films il est d’ailleurs persuadé de parler un espagnol parfait ce qui bien évidemment n’est pas le cas. Pour justifier ses bizarreries linguistiques il fait d’ailleurs souvent référence à l’acteur comme s’il était un modèle.
• Il sait gober un flan en un coup.
• Il détourne chacune des règles de Lorenzo à sa sauce ce qui énerve son collègue. Il a même tendance à en inventer de nouvelles qui sont rarement au goût du policier.
• Il est très fier des ses origines texanes et les revendiquent plus qu’il n’est nécessaire.
• Il adore les M&M’s. Quand il s’ennuie il s’amuse avec, les lançant en l’air pour les rattraper directement dans la bouche ou en les triant par couleur avant de les engloutir. Il a d’ailleurs pour principe de les manger uniquement par couleur pour ne pas « altérer le goût ». Se vantant d’être le meilleur dans ce sport il n’hésite d’ailleurs pas à relever les constants défis de Lorenzo.
• Il ne quitte jamais sa chevalière et porte souvent des bracelets tressés en cuir en plus de sa montre de plongée.
• Il joue formidablement bien du piano mais ne s’en vente jamais.
• Il aime garder une légère barbe de 2-3 jours.
• Il adore taquiner Bryn sur son « talent » de chanteuse et récolte souvent une claque derrière les oreilles pour la peine.
• Il lui arrive de danser en caleçon et de chanter à tue-tête (en particulier sur des grands succès de Barry White). Ses déhanchés sont alors plus que sexy…
• Il regarde les experts et imite parfois les acteurs lors d’enquêtes pour se donner un air sérieux.
• On dirait que ses fesses n’ont pas été programmées pour qu’il puisse s’assoire sur un tabouret de bar. Il a toujours toutes les peines du monde à tenir dessus et lorsqu’il y parvient ses poses sont toujours un brin suggestives.
• Deavon a deux tatouages, une sur le poignet qu'il a depuis son enfance et dont il ne connaît pas l'origine et un autre sur le torse.


Avatar : Jensen Ackles

Fille ou garçon : Fille
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Commentaires : Vous êtes les meilleures les filles je vous aime

» Génétique :

Connaissance des Heroes :
Deavon ne sait absolument rien en ce qui concerne les Heroes pour le moment mais il a la certitude que quelque chose de pas clair se trame dans la ville. En effet au cours de nombreuses enquêtes il s’est retrouvé face à des indices plutôt déroutant qui l’ont amené à se poser des questions. De plus en plus attentif à ce qui se passe autour de lui il ne peut que remarquer le comportement étrange des personnes qui l’entoure. Il a d’ailleurs développé plusieurs théories - théories qu’il se garde bien de partager avec ses collègues. Sa préférée reste « l’invasion secrète des aliens » mais il se trouve encore bien loin de la vérité.

Rapport aux Heroes :
Sa première réaction serait « Cooool ! » aussitôt suivie d’un « Et moi alors ? ».
Deavon a toujours eu tendance à accepter les personnes telles qu’elles sont. Pour lui le monde se divise en deux catégories, les gentils et les moins gentils. Pas d’inquiétude à avoir donc car s’il apprenait un jour la vérité il ne s’enfuirait pas en courant. Au contraire ayant toujours rêvé de posséder la vision X de Superman il pourrait même devenir chiant, limite collant pour en apprendre le plus possible et essayer de découvrir son propre talent caché (non non mieux que celui de gober des flans).

Connaissance du Labo :
Il lui est déjà arriver de faire une descente de police sur les lieux avec des collègues pour des questions de sécurité ou ce genre de choses. Il a d’ailleurs toujours adoré ces visites à causes des trucs étranges qui flottent un peu partout dans les bocaux et des odeurs bizarres qui flottent dans tous les coins mais ça s’arrête là. Loin d’imaginer ce qui s’y trame il croit qu’il font des expériences sur la graisse de phoque pur améliorer la tenue des gloss et autres produits cosmétiques. Des expériences répugnantes mais n’est-ce pas là l’activité de tout bon labo qui se « respecte » ?

Rapport au Labo :
S’il savait ce qui s’y trame vraiment nul doute que le jeune flic mettrait tout en œuvre pour démonter l’organisation. Sans être un farouche militant il estime néanmoins que personne n’a sa place dans une cage.

» Psychologie :

Traits de caractère :
• Malgré son côté aventureux et casse-cou, le jeune Kaine est une personne sur laquelle on peut compter en toute situation. D’une nature tendre et généreuse, il n’hésite pas à se plier en quatre, en particulier quand ses aptitudes de flic sont requises. Qualité qu’il a néanmoins tendance à perdre une fois que vous avez trahi sa confiance ou ‘avez blessé dans son orgueil. Il pardonne rarement ou avec difficulté.
• Il a pour défaut de ne jamais rien prendre au sérieux. Dès que la situation devient dangereuse ou émotionnellement trop chargée il trouve un moyen de « briser la glace » (selon ses propres mots) et de détourner habilement la conversation en débitant un monticule d’âneries ce qui a le don d’énerver ses interlocuteurs. Il se rattrape alors toujours avec un « ok c’était pas drôle » et un sourire crispé.
• Derrière ses airs de rigolo on oublie souvent que c’est une personne intelligente. S’il est dans la police ce n’est pas par défaut mais bel et bien par choix. Ainsi on se rend compte très vite qu’il existe deux Deavon. Il y a celui qui est adepte des batailles de boulettes de papier mâché et celui qui reste très concentré et calme lorsqu’il est sur le terrain.
• Même s’il s’en défend il se montre particulièrement passionné et parfois même romantique lorsqu’il est en couple. Il essaye cependant de combattre cet aspect de sa personnalité car jusqu’à présent on ne peut pas dire que ses relations sentimentales se soient bien passées.


Manies :

• Il fait toujours de drôles de moues avec sa bouche et ses expressions ont le don de faire rire ses interlocuteurs. Dans tous les cas avec Deavon une chose est sûre, tout transparaît dans sa gestuelle. Lorsqu’il ne les pincent pas d’une drôle de façon il a tendance à les humidifiées d’un passage rapide et sensuel de la langue.
• Il a la fâcheuse tendance à renifler sa nourriture avant de l’avaler. Ce n’est absolument pas par méfiance c’est une habitude qu’il a prise depuis tout petit. Tout y passe même les barres de chocolat.
• Lorsque quelque chose l’amuse ou le surprend il lance des tonitruants UHOH !
• Il n’aime pas boire de soda sans paille, jugeant que le goût en est différent. Dans son appartement il en a d’ailleurs une énorme qui fait des loopings dans tous les sens.
• Où qu’il aille et quoi qu’il fasse il ne se sépare jamais de son badge, son flingue et ses menottes.
Lorsqu’il est embarrassé il frotte ses mains paume contre paume ou sur son pantalon. Il arrive même souvent qu’il attrape la première chose qu’il a sous la main et se mette à jouer avec.
• Il ne se passe pas une semaine sans qu’il ait le nez dans son bébé, que ce soit pour remplacer le carburateur qu’il juge inadéquat après réflexion ou simplement pour la nettoyer. Il refuse d’ailleurs catégoriquement de conduire une voiture de patrouille.

» Biographie :

PATRIMOINE GENETIQUE :

Deavon a été adopté alors qu’il avait tout juste deux ans. Il n’a aucune connaissance de ses parents génétiques et n’a jamais ressenti jusqu’à aujourd’hui le besoin de faire des recherches sur eux car le lien qui le lie à ses parents adoptifs est très fort. Ils ne lui ont jamais caché la vérité sur ses origines mais il n’en a rien à faire, ils restent pour lui sa seule famille.
Samuel et Joanne Kaine ont essayé d’avoir un enfant pendant de nombreuses années mais après plusieurs échecs ils ont finalement décidés de se tourner vers une solution alternative, l’adoption. Il a fallut qu’ils attendent encore un certain nombre d’années pour que leur dossier soit pris en compte. 6 mois plus tard ils accueillaient dans leur famille un petit bout de chou prénommé Deavon et qui baragouinait dans un mélange d’anglais et de langue slave.
Bien qu’ils ne roulent pas sur l’or – Samuel est électricien et gère sa propre compagnie mais l’argent est loin de couler à flot - ils ont fait le maximum pour lui offrir une vie agréable et le moins qu’on puisse dire et qu’ils ont réussi. Deavon n’a jamais eu à se plaindre de quoi que ce soit et il voue à ses deux parents un amour sans égal.


MOMENT DE L'ENFANCE :

Dés que le petit garçon jugea que l’heure qu’indiquait le réveil était raisonnable il bondit de son lit, ses cheveux chocolat formant un épi sur sa petite tête. Il bondit en direction de sa malle de jouets et enfila par dessus son pyjama aux couleurs de son héros favori une cape à laquelle il attribuait des propriétés magiques. Le bruit de ses petits pieds nus résonna dans le couloir et il se mit sur la pointe des pieds seulement lorsqu’il arriva près de la chambre où dormait sa cousine.

Il entra en douceur dans la pièce encore plongée dans l’obscurité et ne décelant aucun mouvement à l’intérieur il bondit sur le lit en poussant des cris stridents. La petite fille qui dormait encore manqua de tomber par terre. Elle se saisit de son oreiller et essaya de viser le gamin qui rebondissait sur le matelas.

« LOUPEEEEEE ! » cria-t-il fier de son entrée.

« Maiiiiis ! Je voulais encore dormir ! »

« Dormir ? N’importe quoi ! C’est bien un truc de fille ça… Comme si on avait le temps de dormir… »

Il chopa la poupée de sa cousine et l’agita dans tous les sens comme s’il s’agissait d’une arme en continuant à bondir sur le lit, complètement surexcité. « Il faut qu’on aille exterminer les momies du jardin… » terme peu flatteur qui désignait les grands parents qui squattaient la véranda. « … faire attention à leur dentier vivant… J’ai prévu nos armes pour ça… coussin péteur et… »


POP ! La tête de la poupée sauté comme un ressort et l’ambiance retomba aussitôt. La gamine se mit aussitôt à hurler, atterrée par le sort qui avait été réservé à son jouet préféré.

« Pardon j’ai pas… »

« DEAVON JUDD KAINE ! »

Samuel fit alors son entrée et Deavon se figea, cessant de rebondir un temps pour repartir de plus belle et essayer d’échapper à son géant de père, sa cape virevoltant dans tous les sens. Samuel finit par mettre la main sur lui et l’emmener hors de la pièce en le portant sous son bras par la taille.

« On aurait jamais fait ça à Superman… » grommela le gamin.


MOMENT DE L'ADOLESCENCE :

Deavon l’avait remarquée à la seconde même où elle était entrée dans le bar avec sa troupe de copines BCBG.Immédiatement il fit passer le message auprès de ses potes accoudés au comptoir. Elle était pour lui.

« Laquelle ? »
« Brune, jupe courte, belles jambes joli cul… » fit-il en la détaillant de haut en bas.
« Le groupe de bourges ? »
« Ouep… »
« T’as aucune chance… »
Deavon se tourna vers son pote et haussa un sourcil. « On parie ? »
« 10 dollars… »
« 20… 5 minutes et je ramène son numéro…»
« 30 si tu repars avec… »
« Tenu… »
« Okay ! »
« Okay ! »

Dee l’avait alors abordé et au bout de 5 minutes il ne put nier qu’il avait totalement craqué sur elle. Elle était fraîche, drôle, provocatrice, complètement différente en somme de toutes les bourgeoises coincées de son genre. Ils décidérent de finir la nuit ensemble mais avant de partir il rejoignit ses potes au bar.

« Bon c’est pas que je m’ennuie mais… »
« Nooooon… »
« Si… »
« Il l’a fait le bâtard ! » s’exclama un autre qui avait assisté à toute la scène.
« Tu peux garder l’argent va j’ai trouvé mieux que ça… » fit Deavon en administrant une grande claque à Mark, celui qui partageait sa chambre. Dévoilant alors toute ses dents il leur avait adressé un salut militaire avec de rejoindre la brunette.

Ce fut le début d’une histoire plutôt mouvementée mais où l’un comme l’autre ils trouvaient leur compte. Deavon sut que les choses devenaient vraiment sérieuse lorsqu’elle lui demanda de l’emmener au bal de promo de son lycée. Conscient que depuis le début de l’aventure il n’était pas forcément à la hauteur et qu’une fille du standing de Dylan méritait plus qu’un verre de coca e une part de pizza il avait essayé de faire les choses en grand.

Il avait réussi à dénicher une voiture correcte pour l’emmener à la réception, le costume que son père portait à son mariage ne lui allait pas trop mal même s’il se sentait serré au niveau des épaules. Il avait acheté des fleurs montées en une sorte de bracelet qui étaient assortis à sa boutonnière et il avait réussi à s’asperger d’un parfum hors de prix en faisant une halte à la station service pour faire le plein de la voiture. C’était un brin ringard mais sa mère avait dit que ça ferait effet, que c’était comme ça que son père l’avait séduite et il s’était laissé convaincre. Elle avait d’ailleurs semblée ravie lorsqu’il venu la prendre juste devant chez elle et elle avait bavardé avec enthousiasme tout le long du trajet jusqu’au gymnase.

Seulement une fois sur les liens de la fête il avait rapidement déchanté. Noyé dans sa masse d’amis tous plus snobs les uns que les autres il se sentit comme à chaque fois inférieur et mit à l’écart. Son malaise augmenta encore lorsqu’il la vit faire de l’œil à la star du coin. Beau gosse, grosse fortune, star du lycée et quaterback de l’équipe de foot. Bref tout à fait le genre de personne que l’on s’attendait à voir au bras d’une fille comme Dylan. Et lui… La fleur à sa boutonnière avait déjà fanée, de même que les fleurs qui enserraient le poignet de sa cavalière, le moteur de la voiture avait bien failli les lâcher en route, il avait un trou à sa chaussette et…

*… et ce putain de pantalon me gratte… *

Voyant que le footballeur prenait des libertés avec Dylan il avait vu rouge et toute la frustration de ces dernières semaines était remontée d’un coup. Fonçant sur le couple qui riait aux éclats il avait attrapé Dylan pour l’emmener à l’écart.

« Je peux te parler Dylan? »

« C'est génial tout ça, j'ai rêvé de ce moment toute ma vie, c'est absolument merveilleux ! » lança t'elle exitée comme une puce, un sourire lumineux et les yeux brillants « C'est de la soupe de champagne? » demanda t'elle en lui prenant son verre et trempant ses lèvre dedans « Ah non, juste un peu d'eau... »

« Du robinet » fit-il d’un ton plus sec qu’il ne l’aurait voulu. Plus il y pensait et plus il avait l’impression de prendre la bonne décision. Les amis de Dylan n’avaient cessé de le dévisager comme une bête curieuse tout le long de la soirée et il en avait ras le bol de faire semblant.

« Qu'est ce qui se passe ? » Elle avait cessé de sourire et le fixait maintenant avec un regard triste. Avalant difficilement sa salive il chercha le meilleur moyen de lui dire ce qu’il ressentait. Il aurait bien voulu à cet instant avoir du champagne dans son verre.

« Il se passe que ça ne marche pas ! » Pause. « Je n'ai rien à faire ici, ce n'est pas mon monde, vous êtes tous bien sappé et moi j'ai emprunté un costume que mon père portait il y a 20 ans ! »

« Mais... »

« Non Dylan, je fais des effort pour me hisser à ton niveau et tu ne remarque rien, j'ai mis de l'eau de Cologne et tu n'as rien dit, j'ai loué une voiture pour ne pas t'amener ici en mobylette et tu n'as rien dit, OK c'était pas une limousine mais quand même je me suis ruiné pour toi et tu n'as rien remarqué, tu vas juste papillonner avec tes amis gosses de riches et batifoler avec le capitaine de l'équipe de foot. »

Il fit une nouvelle pause et inspira à fond. Son cœur cognait dans sa poitrine avec force et il sentait sa gorge se serrer. Foutue cravate elle le grattait aussi ! Il croisa alors le regard empli de larmes de Dylan et il se mordit la lèvre. C’était bête mais il n’avait tout simplement la force de faire semblant. Il desserra son nœud de cravate à la recherche d’un peu d’air frais et il se pencha pour effleurer la joue humide de la jeune femme de ses lèvres.

« Je suis désolé... » Il ne revit plus jamais Dylan et après réflexion il se dit que ce n’était peut-être pas une mauvaise chose. Depuis le début leurs amis respectifs répétaient que leur relation étaient vouée à l’échec parce qu’ils ne faisaient pas partie du même monde. Il avait seulement mis du temps à s’en rendre compte.



MOMENT DE L'AGE ADULTE :

Une tasse de thé posée devant lui et un reste de donut dans une main Deavon envisageait différentes façon d’enfourner ce qu’il restait du beignet en entier dans sa bouche tout en feuilletant un de ses rapports. La place à côté de lui était vide et c’était plutôt étrange car Dono n’avait pas pour habitude d’arriver en retard. Lorsqu’enfin ce dernier pointa le bout de son nez le lieutenant relevant à peine les yeux de son dossier.

« Blonde ou brune ? »
« Quoi ? »
« Il n’y a qu’une seule chose qui peut te mettre en retard… Alors blonde ou brune ? »
« … » Lorenzo retira sa veste et la posa sur le dossier de son fauteuil avant de se laisser tomber dessus.
« Une rousse ? » demanda Deavon en se redressant soudain, abandonnant son dossier.
« Non ! Il n’y a personne ! » se défendit Lorenzo.
« Allez pas à moi… »
« Non je te jure… »
« Qui c’était ? »
« Tu ne co-… »
« UHOH alors il y avait bien quelqu’un ! »
« Non et puis mê-… »
Mais Deavon ne l’écoutait déjà plus, cherchant qui pouvait bien avoir passé la soirée avec son pote. « Ne me dis pas que c’est la femme de l’accueil… »
« Non je t’ai di-… »
« Non parce que le gars de la patrouille 16 a dit qu’elle avait de l’herpès… »
« Non mais… Hein quoi ? Comment il sait ça ? »
« Il a de l’herpès aussi maintenant… » ricana Deavon aussitôt suivit par Lorenzo.
« Si c’était pas la femme de l’accueil c’était qui alors ? »
« Personne je te dis… »
« Ta fameuse femme mystère ? »
« Il n’y a pas de… »
« Si… »
« Non. »
« Si ! »
« Non. »
« Si tu ne veux pas en parler c’est bien qu’elle est mystérieuse ! » fit Deavon en levant un doigt en l’air, signe de triomphe de sa logique implacable.
« Tu es obligé de me faire chier dés le matin ? »
« Je suis blessé. »
« Quoi ? »
« Tu m’as trompé… »
« … »
« Tu m’as déçu… »
« … »
« Je t’aime. »

Deavon n’avait pas remarqué le signe que lui faisait Lorenzo pour le prévenir que quelqu’un d’autre participait à leur festivités orales. Lorsqu’il se cacha le visage dans ses mains Deavon leva la tête et rencontra le regard moqueur de Bryn. Les bras croisés la jeune femme haussa un sourcil avant de tourner les talons.

« Et merde… »
« Je t’ai fais le signe… »
« Il faut qu’on change de code… »
« Va lui parler… »
« Non… »
« Si. »
« Non… »

Lorenzo soupira et abandonna la partie. Lorsqu’il leva la tête de ses dossiers quelques minutes plus tard il surprit Deavon en train de lorgner sur les fesses de Bryn d’une manière très peu discrète. Ting ! Un stylo rebondit sur le crâne du lieutenant et il se tourna immédiatement vers son collègue, l’air surpris.

« Va lui parler… »
« Hors de question. »
« Pourquoi ? »
« Elle va me prendre pour un abruti… »
« Elle te prend déjà pour un crétin… »
« … »

« EEEh Bryn ! » lança Lorenzo d’un seul coup dans une imitation approximative de Deavon.
La blondinette se retourna instantanément vers Deavon et darda un regard agressif sur lui. Pris au piège le jeune homme chercha au plus vite une réplique intelligente à sortir. Il sentit ses mains devenir moites, son cœur battre plus fort et sa gorge devenir sèche. Bryn le fixa avec un peu plus d’insistance pour l’encourager à parler et secoua légèrement la tête en signe d’impatience.
« Tu savais que la fille de l’accueil a de l’herp-… » Ting ! Deuxième stylo. Lorenzo avait un mal fou à retenir son rire et devait se cramponner à sa chaise pour ne pas en tomber.
« Crétin ! » fit la blonde avant de disparaître.
« Comme dirait Banderas… Tu viens de te rammassas… » lâcha Lorenzo entre deux hoquets.

Je recommence (je vais pas polluer tes trois posts de fiche XD)

Citation :

Yaaaaaaay !
Rrrrrrrrrrrrrrrrrrrrhhhhhhhhhhhhrrrrrrrrrhhhhh

Oui j'ai vu que t'avais posté trop vite XD

Mais mon pouvoir d'admin toute puissante a fait que j'ai pu corriger le tir

Bon ça aurait pas été non plus super grave

Tu rends compte : Michael & Jensen dans le même bureau

Ah il manque des smiley

Moi je dis que les siéges fondent
Raaah faut qu'on se mette d'accord pour notre lieeeen

Han le premier gift de ta fiche

J'en suis fan aussi la créatrice est géniale

c'est clair, il est trop

Je viens de capter, c'est nyaubaby

J'en ai un stock aussi, ils sont géniaux

Ouais ben cette chienne a rejeté ma candidature pour Elitefandom. Bon ok, elle a dit qu'elle espérait que je repostule après, mais, euh, bon. Zut.

OMG je kiffe la perruque.

Drake > C'est clair elle est juste trop forte

Ju' > Utilise le brush

Api > Irrésistible hein ?

Clair, si je fais un petit tour par le poste de police, je viendrais voir Deavon.

Il aura toujours ses menottes

J'en attendais pas moins d'un bon lieutenant.

Y en a qui font faire des séjours longue durée

Aaaah ben voilà je me demandais pourquoi la population augmentait autant à Salem.

La sécurité est assurée par un personnel de qualité

Eh oui que voulez vous...

On s'arrange pour que vous soyez entre de bonnes mains

Mains

Vas-y enferme-moi dans la salle d'interrogatoire il y a une table et un mur ça suffit

Juste le mur ou juste la table suffit à la rigueur.