| | Lorenzo Donnovan | Hot Blooded | |
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+3Mallory Fitzgerald Deavon Kaine Lorenzo Donnovan 7 participants | |
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Lorenzo Donnovan
Nombre de messages : 654 Age : 32 Occupation : AGENT SEXY & SPECIAL DU FBI Love : I'm not in love, I'm obsessed. Fears : My own job is what scare me the most. Date d'inscription : 15/02/2008
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| Sujet: Lorenzo Donnovan | Hot Blooded Mar 19 Fév - 3:15 | |
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Dernière édition par Lorenzo Donnovan le Sam 23 Fév - 2:34, édité 57 fois | |
| | | Lorenzo Donnovan
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| Sujet: Re: Lorenzo Donnovan | Hot Blooded Mar 19 Fév - 3:41 | |
| DONNOVAN'S STYLE(c) ncis-art.de
" It's like I can't think Without you interrupting me In my thoughts, in my dreams. "
» Génétique :
Connaissance des Heroes : Bien que Lorenzo ait accès à un nombre assez important d’informations et de documents, il n’en demeure pas moins très perplexe sur l’existence des Heroes. Certes il a bien souvent été mis au courant des expériences du Labo mais il n’a jamais essayé de fouiller plus loin, étant bien trop obsédé par les agissements de la Mafia des Androsi. Cette famille l’obsédant, il a légèrement mis de côtés le reste. Néanmoins depuis quelques temps, certaines découvertes l’ont amené à penser que tout ceci était lié. Il a donc jeté un œil beaucoup plus vigilant dans les expériences du Labo et a fait des découvertes très intéressantes. Il reste tout de même sceptique mais commence à s’intéresser de plus près à ces personnes. Rapport aux Heroes : Dire qu’ils les accepteraient avec beaucoup de facilité ne serait qu’un mensonge pur et dur. Ayant vu de nombreuses choses, très différentes les unes des autres dans sa carrière, Lorenzo n’a pourtant jamais imaginé, pas même une seule seconde, que des personnes semblables à ceux de ses bande dessinées préférées pouvaient exister. Comment auraient-ils pu ? Certes il était au courant des expériences, de l’évolution de la science et de l’histoire de la ville mais, des « Heroes », des vrais de vrais. Tout bonnement inimaginable. Cependant, ne s’avançant pas dans des discours xénophobes , Lorenzo ne saurait dire quel serait sa réaction. Il attend le dernier moment, le moment où il devra y faire face. Comme toujours. Connaissance du Labo : Le Labo, Lorenzo en connait l’existence à un niveau très élevé. -Et sa famille en connaissait plus qu'il ne le pense- En effet le FBI étant en contact direct avec la CIA, la Cia contrôlant le labo de A à Z, il n’est pas étonnant qu’il ait accès à un nombre d’information très important. Mais comme toujours, il en reste certains non divulguées qu’il contente bien découvrir un jour ou l’autre. Rapport au Labo : Dans l’esprit de Lorenzo, le Labo n’est rien de plus qu’un projet gouvernemental qui leur échappe peu à peu. Certes, ils ont sur lui un très grand contrôle mais, ils ne peuvent malheureusement pas tout gérer de l’extérieur. C’est d’ailleurs pour cela qu’ils envoient tant d’agent sur le terrain. Que ce soit le FBI ou la CIA. La Mafia se développant plus rapidement qu’il ne le pense –enfin-, ils se sont vus attaqués un nombre de fois incalculables. A propos de leurs faits et gestes, Lorenzo n’a guère foi en leurs expériences. Néanmoins sa curiosité l’a souvent poussé à vouloir y faire un tour de plus près, dans le but de voir tout cela d’un œil rapproché.
» Psychologie :
Traits de caractère : Le moins que l’on puisse dire à propos de Lorenzo est que même en étant âgé de trente ans, il n’en reste pas moins quelqu’un dont la maturité est, comment dire, cachée au plus profond de son être. En effet, bien que son métier l’ait endurci, que sa famille lui ait inculqué des valeurs très dures, Lorenzo est resté tel qu’il l’était à l’époque de l’adolescence. Insouciant, blagueur, dépensier, séducteur et surtout irréfléchi. Les conséquences de ses actes ? Il n’y réfléchit que bien trop tard. L’hypocrisie ? Il ne connait pas. Il dit tout, de A à Z en passant par M. C’est simple il ne se voit pas côtoyer des gens en leur mentant sur ses idées et ses pensées. Néanmoins s’il y a bien une chose que l’on peut lui reconnaître, c’est sa détermination, son côté passionné et son courage, et surtout dans son métier. Même s’il passe pour quelqu’un qui prend tout à la légère –ce qui est un peu vrai- son métier compte énormément dans sa vie, bien plus qu’il ne le devrait. Lorsqu’il revêt le « costume » d’agents de police ou du FBI, il change du tout au tout. Sérieux, tut ce qu’il entreprend est fait dans les règles de ‘art. Il possède d’ailleurs un code composé de plusieurs règles qui lui tiennent particulièrement à cœur. Il les respecte aussi souvent qu’il le peut. Il faut dire que ce ne sont que des règles très simples et qui n’ont rien de très professionnel. Enfin ce sont celles du genre : « Ne jamais laisser deux suspects dans la même pièce. » « Ne jamais sortir avec un collègue. » « Ne jamais s’excuser. » « Le mensonge, c’est bien mais il ne faut pas en abuser. » Et pourtant, les lois et les vraies règles de son métier, il les contourne très souvent. Mais bien évidemment, en bon agent, il a toujours de très bonnes raisons et les résultats sont toujours très concluants à la fin. De plus, passionné par ce qu’il fait à longueur de temps, il n’hésite pas à passer des heures sur des dossiers qui n’en nécessiterait qu’une ou deux voir trois. Que ce soit en amour ou en amitié, tout autant que familialement –même si sa famille a coupé les ponts avec lui il y a de très nombreuses années-, Lorenzo a des principes auxquels il ne dérogerait jamais. La loyauté, l’attention, le respect. Enfin, comment dire pour ce qui est de l’amour, ou plutôt des amourettes d’un soir dirons nous, elles ne s’appliquent pas toujours, si vous voyez ce que je veux dire. Manies : + Lorenzo est un grand cinéphile, et cela depuis de nombreuses années. Cette passion peut rapidement irriter son entourage, puisqu'il fait sans cesse des référence à certains personnages cultes -ou non- et des répliques dont lui sait connait la source. Le plus souvent, vous pourrez entendre des références à : John Wayne, Austin Power, Harrison Ford, John Travolta, Johnny Depp ... + De même pour la musique, le jeune homme possède une collection impressionnante de CD dans sa voiture et une chose est sûre : N'essayer jamais de choisir vous même la musique à écouter. C'est sa voiture, c'est lui qui choisit. + Il passe son temps à fredonner des airs de chansons, et improvise bien trop souvent des mouvements de danse grotesques. + Son langage ne se compose que d'expressions vulgaires ou totalement grotesques. Sans cesse, il répète " It's gonna be ... legendary" ou encore "Wait for it" mais aussi "Who's the Boss ?" "I am". Que de petites phrases tels que celles-ci. Pour les phrases plus vulgaires, ce sont : " Crap, Shite, Darn It, Damn, Blimey ..."
Dernière édition par Lorenzo Donnovan le Mer 20 Fév - 3:54, édité 6 fois | |
| | | Lorenzo Donnovan
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| Sujet: Re: Lorenzo Donnovan | Hot Blooded Mar 19 Fév - 3:42 | |
| DONNOVAN'S STYLE(c) ncis-art.de " How could this happen to me I've made my mistakes " » Biographie :Patrimoine génétique :
What would have you done, instead of them ?
Grégory Donnovan était un marine, classé au peloton des snipers éclaireurs. Lorsqu’il rencontre Penelope Carlson, il est âgé de 34 ans et revient d’une mission de trois ans en Bosnie. Penelope Carlson était elle une jeune journaliste, diplômée du MIT. C’est lord d’un voyage organisé en Angleterre qu’ils se rencontrèrent, par le plus grand des hasards soit disant. Mais la famille Carlson et la famille Donnovan était bien plus liée que n’importe quelle autre famille. Tout avait été calculé à la seconde près. La date, l’heure, le voyage, les places dans l’avion, le numéro de chambre de l’hôtel, les accidents amusants qui survinrent. Tout. En Italie, la Famille Carlson était réputée pour avoir trempée dans des affaires siciliennes pas très nettes. Et les prédécesseurs de Gregory Donnovan également. Et même si les enfants de la famille ne le surent jamais, ils n’étaient pas riches par hasard. Ces deux familles n’avaient pas fait fortune en travaillant courageusement. Tout avait été calculé et prit sur le dos de pauvres gens. Ces deux familles se ressemblaient en tout point.
Mais l’emprise sur ce jeune couple ne s’arrêtait pas là. Bien au contraire. Il ne faisait que commencer. Leur rencontre faîtes, le mariage programmé, il restait maintenant la présentation à l’autre famille. Là aussi, tout fut manipulé avec précaution. Les deux familles se déchirèrent, causant ainsi l’éloignement du jeune couple qui, voulant fuir la haine familiale, s’échappa vers Baltimore aux États-Unis. Ceci fait, les Carlson et les Donnovan étaient sûrs de voir leurs descendances assurées. En effet cette vie mafieuse était très risquée et ce que souhaitait par-dessus les patriarches étaient de voir le nom de leur lignée se perpétuer, en espérant qu’un jour, un enfant des enfants de ses enfants retournerait à la terre de ses ancêtres.
Devant se débrouiller seul, le jeune couple avait néanmoins réussit à s’installer paisiblement à Baltimore, où il comptait donner naissance à un jeune enfant, dans les mois à venir. Mais alors que les ancêtres familiaux s’éteignaient peu à peu, Penelope, guidée par son instinct journalistique, décida de faire quelques recherches sur sa famille, mais plus éloignée. Et ce fut avec une stupéfaction hors norme qu’elle découvrit les réelles activités de ses paternels, de ses frères, de ses sœurs. Tout. Rapidement, elle sauta les questions et les doutes et parvint à la conclusion que si elle avait réussit à se détacher de l’emprise familiale aussi facilement, il devait y avoir une très bonne raison. Au fond d’un coffre, dans la banque de sa ville natale, des centaines de documents. Des noms, des historiques, des prénoms, des prix. Un mot revenant sans cesse : Le Labo. Des choses ahurissantes qui n’auraient jamais traversées l’esprit de Penelope en tant normal. Elle ne les aurait même jamais imaginées. Un cauchemar. Tout cela ne devait être qu’un cauchemar. Elle n'avait aucune licence scientifique mais le peu qu'elle avait acquis à l'école l'aida à comprendre. De la génétique. Sa famille était liée à quelque chose en rapport avec la génétique.
Par précaution, après la naissance de leur fils, ces jeunes parents firent mettre en sécurité les documents qu’il avait découverts, ainsi que des nouveaux, écrit de leur propre plume. Si Lorenzo venait à les découvrir, il devrait savoir quoi en faire. Ils l’espéraient.
Il venait à peine de naître et déjà, pesait sur lui un lourd destin.
Moment(s) de l'enfance :
I don't want to grow up.
« Les filles ça pue … » Grogna Lorenzo tout en croisant ses bras devant lui.
« Ça crie, c’est moche, ça pleure pour un rien … » Poussant un long soupir d’exaspération, le petit garçon retourna s’assoir dans le canapé du salon tout en prenant la télécommande dans sa main. D’un geste sec, il alluma la télévision et reposa la petite boite lorsqu’il fut satisfait de la chaine. La télé c’était beaucoup plus intéressant.
S’approchant d’un pas rapide, Grégory Donovan vint s’assoir à côté de son fils, posant une main au dessus de sa petite tête brune. « Lorenzo, surveille ton langage … »
« Touche pas à mes cheveux… » Répliqua aussitôt le petit garçon alors qu’il sentait la main de son père lui ébouriffant les cheveux. « C’est sacré … » Continuant d’un ton solennel, il agita vivement la tête et retira la main de son père. S’assurant qu’il n’avait aucun épi, il afficha un petit sourire avant de reporter toute son attention sur la télévision.
« Lorenzo … il faut que tu comprennes que … » Tentant en vain de capter l’attention de son fils, Grégory soupira avant de se lever et d’attraper la télécommande et d’éteindre la télévision.
« Roh non t’abuses … C’est le moment où Jac va chercher la clé dans la poche de la marâtre pour délivrer Cendrillon… » S’empressa t’il de dire, le nez renfrogné, les yeux ronds tournés vers son père. « C’est po juste … » Un long soupire s’échappant de sa bouche, il baissa la tête vers ses jambes qu’il balançait en rythme dans les airs.
« Lorenzo tu l’as déjà vu des dizaines de fois … » Se défendit son père, en essayant de relever son visage.
« Non ! » Rétorqua le petit garçon en fixant son père, l’air sérieux. Son visage se radoucit quelques secondes plus tard. « C’est le Roi Lion que j’ai vu 9 fois … » Montrant neuf doigts à l’aide de ses mains, il prit un ton suppliant, une petite lueur brillant au fond de ses yeux.
« S’il te plait Papa … Je vois voir Jac-Jac, Gus-Gus et Bobby. »
« Lorenzo, il est temps que tu grandisses. »
« Beurk. » Grimaça le jeune garçon, tirant la langue, dégouté.
« Si c’est pour aller dans une école avec encore plus de filles, je veux pas. » Ses bras de nouveaux croisés contre son torse, il se redressa.
« Et puis d’abord j’ai faim. »
Un rire s’échappa de la bouche de Grégory alors que son fils s’éclipsait vers la cuisine où sa mère préparait un gâteau de chocolat. Non pas qu'il avait vraiment très faim mais il y avait chez Lorenzo un petit rituel. A 16H tapante, le petit homme se devait d'aller manger un petit encas. Petit signifiait souvent une part de gâteaux, quelques biscuits ou des céréales et un bol de lait. Il disait toujours que s'il ne mangeait pas à 16H, il aurait faim un peu plus tard et il mangerait juste avant le dîner et là, ce serait le drame. Son organisme serait détraqué. Selon lui.
« Comme Grand-Maman le disait : Mange à 16H, bois de l'eau à 18H. » Un fier sourire pendu aux bouts des lèvres, il continua son chemin vers la cuisine avant de s'arrêter aux côtés de sa mère et de tirer doucement su son bras pour attirer son attention.
« Maman, hein qu’c’est vrai que les filles c’est moche et ça pue ? Hein Maman que c’est vrai ? » L’interrogea-t-il comme si de rien, en levant les yeux vers elle, un regard attentif.
« Lorenzo ! » Bouche bée, Penelope lui montra la chaise d’un signe de tête. « Premièrement file t’asseoir et deuxièmement … » Se stoppant ,elle s’approcha de lui et s’accroupit.
« Tu sais que plus tard tu ne diras pas ça … »
« Si ! » Déclara le petit homme, d'un air assuré tout en dodelinant de la tête.
« On peut grandir sans les filles hein … » Acquiesçant d’un signe de tête sa mère l'observa alors qu'il ajouta les yeux fermés, une petite moue dessinée sur ses lèvres. « Sauf pour les galipettes » Pointant un doigt devant lui, prouvant que cette idée venait de le frapper, il s'empressa de continuer voyant que sa mère n'étais pas tellement satisfaite de cette réponse.
« C'est Grand-Maman qui me l'a dit » Etrangement, la seule personne de la famille Carlson avec laquelle la petite famille avait gardé contact était la mère de cette dernière. Elle était la seule s'était intéressée pour de véritables de raisons au bonheur de sa fille cadette, et au bonheur de son jeune enfant. Et même s'ils avaient longtemps hésité, les parents Donnovan avait approuvé cette relation puisque Lorenzo avait insisté pour connaître sa grand-mère. Pour le bonheur de ses parents, il ne posait pas encore trop de questions sur le reste du patrimoine familial et sa grand-mère ne lui disait rien. En même temps, il ne la voyait qu'une fois tous les quinze du mois et l'avait au téléphone tous les trente-six.
Amusée mais également outrée, Penelope le regarda longuement, secouant la tête tout en soupirant.
« Tu tiens bien de ton père toi … » Retournant à ses affaires, elle laissa Lorenzo seul dans la cuisine pour le plus grand bonheur du petit garçon.
Ce dernier plongea une part de gâteau dans son bol de lait avant de le porter à sa bouche. Avalant ensuite une gorgée, il reposa son bol devant lui. Le regard fixé sur la fenêtre, il aperçut plusieurs couples d’adultes passés devant lui.
« Plus tard, je me marierai avec une souris moi … » Parvint-il à articuler, la bouche pleine. Reportant son attention sur sa nourriture, il ajouta plus bas, pour lui seul.
« Avec Gus-Gus ».
Dernière édition par Lorenzo Donnovan le Mer 20 Fév - 14:28, édité 3 fois | |
| | | Lorenzo Donnovan
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| Sujet: Re: Lorenzo Donnovan | Hot Blooded Mar 19 Fév - 15:10 | |
| (c) ncis-art.de Moment(s) de l'adolescence :
« HOT BLOODED CHECK IT AND SEE »
S’agitant dans un déhanché digne de celui de Hugh Grant dans Love Actually, Lorenzo continua de s’habiller pour la soirée que donnait ses parents, tout en essayant encore et encore d’imiter la voix du chanteur des Foreigner.
« I GOT A FEVER OF A HUNDRED AND THREE »
Ses parents lui avaient dit un nombre incalculables de fois que ce genre de musique n’était pas ce qu’il devait écouter mais s’il y avait bien une chose qu’il avait appris avec le temps, c’était de ne pas écouter ses parents. Surtout lorsqu’il s’agissait de musique, ou même de cinéma, ou encore de vêtement. En fait, il ne les écoutait jamais. Quelque soit le sujet.
« COME ON BABY, DO YOU DO MORE THAN DANCE »
Maintenant c’était au tour de John Travolta de se voir piquer ses pas de danse. Tentant d’imiter le mondialement connu pas de danse de « Saturday Night Fever » tout en gardant le rythme rock de Hot Blooded, Lorenzo boutonna sa chemise avant de se regarder dans le miroir. Et sans prévenir, il approcha sa main de ses lèvres, referma son poing –il essayait d’imiter un micro vous comprenez- et entama le couplet plus motivé que jamais, dessinant des grimaces plus grotesques les une que les autres sur son visage. Oui selon lui les chanteurs de rock faisaient toujours d’ignobles singeries avec leurs bouches et leurs mains. Comment ? S’il s’était déjà rendu à un concert de Rock ? Ah non jamais. Pourquoi ?
« NOW IT\'S UP TO YOU, WE CAN MAKE A SECRET RENDEZVOUS »
Soudain il se stoppa et regard autour de lui, un air perplexe et surtout gêné sur le visage. Il lui semblait avoir entendu quelqu’un. La voie était libre. Personne n’était là, et tant mieux. Continuant de s’habiller, il se mit à courir vers sa chaine hi-fi laissant tomber la cravate durant cette course.
« Shit »
Il relança la musique, se dépêcha de récupérer cette satanée cravate et se replaça devant sa glace. Oui, il avait une sorte de rituel : Toujours s’habiller devant un miroir. Allez savoir pourquoi. Lui-même n’en savait rien.
Répétant tout la bas les paroles approximatives de la chanson, car oui à une certain moment il était complètement largué, Lorenzo termina son nœud de cravate –lui aussi approximatif par la même occasion et lorsqu’un son strident retentit dans le hall de la maison. Ce devait être la tante Gertrude -il l'appelait de cette manière alors qu'elle n'était ni sa tante et s'appelait encore moins Gertrude. Mais, vous comprenez, il avait entendu son père l'appeler ainsi une fois, avec un accent français abominable, et depuis c'était resté. Il s’empressa d’éteindre la musique et vint se placer derrière sa porte de chambre, ou devant selon le point de vue. Là, il réajusta son costume passant le revers de sa main sur ses épaules pour en retirer les éventuelles poussières. Il était prêt. Oui enfin si l’on pouvait être prêt pour ce genre de repas. Dans un dernier élan d’agitation, il s’élança dans les airs –pas trop haut non plus hein- et retomba sur le sol en improvisant une scène inoubliable. Il se prit pour un guitariste qui entamait son solo. Se reversant vers l’arrière, essayant de faire un grand écart, bougeant ses lèvres au rythme d’une musique imaginaire … Bref, il se défoulait.
Soudain il se redressa comme si de rien, souffla un grand coup en retenant un rire rire au fond de sa gorge. La porte s’ouvrit.
« Looooorenzoooooo » La vieille dame joufflue et au teint grisâtre venait de pénétrer dans l’enceinte de sa chambre et s’avançant vers lui pour lui coller une bise contre les joues avant de les lui pincer affectueusement –il paraissait.-
« Qu’est que tu as grandi » Le jeune homme dessina un sourire factice sur son visage. Lorsqu\'elle disait ça, il avait toujours l\'impression d\'entendre le loup du petit chaperon rouge ou plutôt la grand mère mais en loup. Ce moment si particulier qui avait traumatisé Lorenzo était plus jeune.
« J’ai entendu de la musique en montant c’était quoi ? » Levant les yeux au ciel, Lorenzo les reposa sur sa tante avant d’ajouter.
« Concerto n° 1 en mi majeur, opus 8 « La primavera » de Vivaldi » Tante Récita t-il, le sourire aux lèvres. Il avait répété cette scène des centaines de fois, ou plutôt le nom qu’il clamerait à sa tante lorsqu’elle lui poserait la question. Il avait d’ailleurs longuement hésité. Vivaldi ou Beethoven ? | |
| | | Deavon Kaine • Explicit content
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| Sujet: Re: Lorenzo Donnovan | Hot Blooded Mar 19 Fév - 15:46 | |
| Fiou je suis d'accord ce vava me tue *meurt* Aaaaah c'est mon poto de bureauuuuuu On va faire que des bêtises... | |
| | | Mallory Fitzgerald Admin | Caution ! High Voltage
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| Sujet: Re: Lorenzo Donnovan | Hot Blooded Mar 19 Fév - 15:47 | |
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| | | Cheyenne Harrols Admin | Bitch & Bad
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| Sujet: Re: Lorenzo Donnovan | Hot Blooded Mar 19 Fév - 20:10 | |
| Comment ça donne envie de se faire arrêter quoi. | |
| | | Mallory Fitzgerald Admin | Caution ! High Voltage
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| | | | Nola Hamner
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| Sujet: Re: Lorenzo Donnovan | Hot Blooded Mar 19 Fév - 20:18 | |
| Il va y avoir plein de vilaines filles à Salem *hye* | |
| | | Cheyenne Harrols Admin | Bitch & Bad
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| | | | Mallory Fitzgerald Admin | Caution ! High Voltage
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| Sujet: Re: Lorenzo Donnovan | Hot Blooded Mar 19 Fév - 20:26 | |
| salem, c'est chaud comme la braise des bûchers | |
| | | Nola Hamner
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| Sujet: Re: Lorenzo Donnovan | Hot Blooded Mar 19 Fév - 21:56 | |
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| | | Lorenzo Donnovan
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| Sujet: Re: Lorenzo Donnovan | Hot Blooded Mar 19 Fév - 22:00 | |
| (c) ncis-art.de; distractiions Moment(s) de l'âge adulte :
With you gone it plays on it's so hard to move on I want to but I wanted you Now you stay in my head I'm not over you yet I try to but I wanted you « Qui est-ce ? » Interrogea Matthew, un coéquipier de Lorenzo, montrant d’un signe de tête une photo placée sur le bureau.
Silence. « La seule erreur de toute ma carrière. » Répondit-il avec un certain mal. Ses yeux se teintèrent d’une légère brume avant qu’il ne les referme péniblement. Quelques frissons lui parcoururent le corps, tous ses muscles se crispèrent. Faiblement, ses lèvres tremblèrent. Ses yeux se desserrèrent lourdement à mesure qu’il se tournait vers la fenêtre. De celle-ci, il perçut une feuille se décrocher d’un arbre et voltiger dans les airs. Se redressant de sa chaise avec l’aide de ses deux bras, il vacilla quelque peu. Parvenait à se tirer jusqu’à la vitre, il colla son front contre celle-ci alors que son regard suivait le trajet affolé de la feuille. Le vent soufflait avec une certaine force à l’extérieur. Lorenzo le percevait de l’intérieur. Il ressentait son souffle contre sa joue, il le sentait balayer ses larmes avant même qu’elles ne coulent le long de sa joue. Il les devançait. Toutes ses émotions étaient devancées. Comment pouvaient-ils les ressentir puis tenter de les surmonter ?
Son cœur se serra. Le vent s’estompa. La feuille toucha le sol. La main de Lorenzo glissa le long de la glace. Un passant écrasa la feuille. Le cœur de Lorenzo hurla silencieusement. Son poing se referma contre la vitre. Ses yeux se scellèrent. Son cœur. La feuille. Ils étaient piétinés. Le passant continua la route.
Son cœur, lui, ne se desserra pas.
Elle lui manquait.
Il frissonna. « Allison » Souffla t-il, d'une voix presque inaudible.Looking back if we had one more night to spend I would steal every second I would never let it end Like the taste of your lips what I'd give to drink you in *** ... Was loving you. Travailler avec elle c’était ça. Seulement ça. Un enchainement de blagues pas vraiment drôles, des batailles de stylo à n’en plus finir, un retour en enfance perpétuel, des disputes d’adolescents, des crises semblables à celles des vieux couples, des défis insensés pimentant encore plus leurs vies d’agents. Son travail c’était sa vie. Elle faisait partie de son travail. Elle faisait partie de sa vie. Il ne l’avait jamais considérée comme une femme en tant que telle. Elle était sa coéquipière. Il la voyait tous les jours de la semaine, vingt quatre heures sur vingt quatre. Elle connaissait quasiment toutes les parcelles de sa vie. Il travaillait avec elle depuis quatre longues années. Sa vision à son propos était brouillée. Comment pourrait-il imaginer ne serait-ce qu’une légère histoire avec elle ? Comment aurait-il pu ? Peut-être en tant qu'une petite sœur, car même s’il ne l’avait jamais avoué, Lorenzo aurait donné énormément pour Allison. A de nombreuses reprises, il avait voulu la protéger. Il en avait besoin. C’était instinctif. Il n’était plus question de travail, de raison, d’affection. Cela venait de plus loin, de plus profond. De ses organes eux-mêmes. C’était bien plus fort, bien plus intense. C’était comme le besoin de dormir –pour lui surtout-. On ne peut pas vivre sans. Il ne pouvait pas vivre sans la voir, sans lui faire de petites blagues, sans l’entendre lui faire la morale. Elle était plus que sa coéquipière. Mais lorsque Lorenzo le comprit, il était trop tard. Lorsqu’il comprit que s’il ne faisait pas quelque chose, il le regretterait toute sa vie. Lorsqu’il s’aperçut qu’elle était celle dont il avait besoin, elle était déjà loin. Il l’avait comprit lorsqu’il avait senti qu’il la perdait. Et il ne l’avait pas seulement perdu au sens figuré, comme l’on perd un amour de jeunesse. Il était là, revolver dans la main, courant sur le toit d’une maison, l’adrénaline l’empêchant de penser correctement. Il était sur le point de tirer, il savait que quelque chose allait se passer. Lui ou autour de lui. Quelque chose tournerait mal. La. Maintenant. Dans quelques secondes. Toute de suite. Bientôt. Et la seule personne qu’il apercevait dans sa tête, c’était elle. Allison. Sa coéquipière. Il était passé à côté durant ses quatre années. Et pourtant, tous les jours il la voyait. Chaque seconde, chaque minute. Elle était sous ses yeux à chaque instant. Chaque. Et un tir, puis deux. Le premier dans sa poitrine, l’autre à côté.
Il avait crié, comme si on lui arrachait le cœur, comme s'il s'extirpait de sa poitrine sans prévenir. Elle était tombée sur le sol, les yeux clos. Il avait couru à ces côtés, tirant sans même s’en rendre compte, sans même regarder où. Les coups fusaient, les bruis retentissaient. Il était tombé à terre dans le but de la rejoindre plus rapidement. Il s"était assis, elle avait ouvert les yeux. Il s’était aussitôt apaisé. Elle s’était relevée et lui avait sourit. Elle avait lancé une petite blague, prouvant qu’elle était bien là et que tout était comme avant. Lorenzo avait baissé sa garde, il s’était décalé de quelques centimètres, juste quelques centimètres. Seulement deux cinq petit centimètres. Peut-être dix. la lumière du soleil l’empêchant de la regarder correctement. Il s’était préparé, il s’était avancé vers elle pour peut-être … Une balle avait retenti. Une nouvelle fois. Son cœur sursauta. Il recula instinctivement. Ses yeux se refermèrent. Quelque chose clochait.
Il était trop tard. Elle était allongée sur le sol, une nouvelle fois. Une dernière fois.What I miss overall is a smile I can't replace 'Cause it starts in your eyes and It filled up all the space in my heart I know I will always remember and I know that it goes with me I will never leave this part of you behind *** What goes around, comes around Lorenzo était adossé contre un mur, dans un recoin du poste de police, téléphone contre l’oreille. Depuis maintenant plus d’une trentaine de minutes, il tentait d’obtenir en vain, des informations du Gouvernement. Non, en fait il tentait de les joindre pour commencer. Et il lui semblait qu’il n’y parviendrait jamais. Deavon était descendu je-ne-sais-où et Lorenzo ne savait guère quand celui-ci rentrerait ; il devait donc vérifier toutes les cinq minutes si l’ascenseur s’ouvrait et si quelqu’un en ressortait. L’impatience combinée à la peur d’être découvert rendait dingue le jeune homme tapotait nerveusement ses doigts contre le mur, tournant dans tous les sens. Il était sur le point de partir directement au bureau Gouvernemental lorsqu’on décrocha.« Enfin » Lâcha-t-il, poussant un soupire de soulagement. « C’est pas trop tôt. » Posant son coude contre le mur, il déposa sa tête contre celui-ci. « Etes-vous, par le plus grand des hasards, au courant, mais surtout dîtes le si je vous dérange hein … Je sais très bien qu’il y a de nombreuses affaires beaucoup plus importantes à régler donc dîtes le moi, après tout j’ai l’habitude de respecter des ordres plus cons les uns que les autres … » Lorenzo, qui tentait de rester calme malgré son impatience démesurée, se tapa la tête convulsivement contre le mur. « Donc je disais que si vous pouviez me donnez des info-oui moi aussi j’ai passé une soirée extraordinaire avant-hier … Quand tu veux… » Levant les yeux au ciel, il salua rapidement Deavon d’un signe de tête. Il avait entendu le bruit étourdissant de l’ascenseur, et grâce à son ouïe hyper développée, avait entendu des remarques concernant Dee et en avait déduit sa présence. Très fin.«Veuillez patienter, quelqu’un vous répondra d’ici quelques minutes … Veuillez patienter. » Les yeux ronds, Lorenzo referma le clapet de son cellulaire avant de le ranger brusquement dans sa poche, ronchonnant. « Bordel … »Grogna un Lorenzo médusé, avant de se diriger mollement vers son bureau.« Elle veut une relation sérieuse ? Comme dirait Banderas : Elle est tombas in lovas de toitas » Considérant Deavon avec des yeux ronds, Lorenzo haussa un sourcil.« T'es au courantas que tutas parlas très malas espanolas ? » Fit-il, une ironie cachant un sentiment léger d’exaspération dû à son précédent coup de téléphone.
Attrapant son paquet de maltesers au passage, il prit place sur son fauteuil, le regard fixé sur Deavon, qui venait de prendre son paquet de M&M’s, au même moment.« Tu y arriveras jamais. » Fit-il, une petite boule de chocolat dans la main.« Essaye même pas. » Le regard qu’ils se lancèrent en disait long. Deux secondes plus tard, Deavon et Lorenzo commençaient à lancer des sucreries en l’air pour les rattraper directement dans leurs bouches.« Pathétique. » Une voix résonna dans leurs oreilles. Se stoppant net, se redressant aussitôt, les deux policiers se regardèrent rapidement avant de chercher leur interlocutrice. Oui, c’était une femme. Et cette vois, ils l’avaient reconnu.« C’est toujours un pur plaisir de te voir, notre rayon de soleil »Lança Lorenzo alors qu’il dessinait un sourire malicieux aux coins de ses lèvres.« Dis lui toi Dédé » Fit un Lorenzo des plus amusés, se balançant sur sa chaise. « Dis lui que c’est ton rayon de soleil et qu’elle hante tes jours et tes nuits » Adressant un clin d’œil à son collègue, il ne fut pas surpris lorsqu’il reçut un stylo sur la tête. Un rire lui échappa même.« Ouais comme les fantômes … » Rétorqua Deavon. « Sauf qu’il lui manque la grande cape blanche … Quoi que la cape ça fait penser à Batman enfin Batman elle est noire … » Levant les yeux vers Bryn, celle-ci soupira.« Ca vous arrive de vous comportez en adulte quelques fois … »Les deux amis se regardèrent un court instant avant d’agiter leurs tête de droite à gauche, à l’unisson. « Il t’a pas dit … » Commença Deavon, bien décidé à se venger. « Y a une fille qu’est tombas … » Observant le regard que lui lançait la jeune femme en entendant son espagnol banderassien, il se reprit et finit. « … amoureuse de lui. » Son regard se posant sur Bryn puis sur Lorenzo, successivement, il se balança lui aussi sur sa chaise, amusé. * Qui rira bien qui rira le dernier hein * Bryn retint un rire moqueur au fond de sa gorge avant d’ajouter en se tournant vers Deavon. « 15 qu’il va pas au rendez-vous … »« 20 qu’il dit une connerie et se prend une gifle »« 25 qu’elle le rappelle dans une heure … »« 30 qu’il décroche … et invente une excuse bidon »Lorenzo les regarda longuement, l’air vexé. Si seulement ils savaient.(c) Avec des idées de Zaz' aka Deavon & Lolote aka Bryn | |
| | | Bryn Chasen • You burn if you approach
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| | | | Cheyenne Harrols Admin | Bitch & Bad
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| Sujet: Re: Lorenzo Donnovan | Hot Blooded Mer 20 Fév - 23:04 | |
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| | | Mallory Fitzgerald Admin | Caution ! High Voltage
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| Sujet: Re: Lorenzo Donnovan | Hot Blooded Jeu 21 Fév - 0:54 | |
| Moi aussi | |
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| Sujet: Re: Lorenzo Donnovan | Hot Blooded Jeu 21 Fév - 0:56 | |
| Elle est trop bien écrite | |
| | | Lorenzo Donnovan
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| Sujet: Re: Lorenzo Donnovan | Hot Blooded Jeu 21 Fév - 17:51 | |
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| Sujet: Re: Lorenzo Donnovan | Hot Blooded Ven 22 Fév - 18:47 | |
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| | | Lorenzo Donnovan
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| Sujet: Re: Lorenzo Donnovan | Hot Blooded Ven 22 Fév - 20:38 | |
| Le trio infernal comme a mis Zaz' dans sa signature Je vais adorer | |
| | | Deavon Kaine • Explicit content
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| Sujet: Re: Lorenzo Donnovan | Hot Blooded Ven 22 Fév - 21:02 | |
| J'aime déjà | |
| | | Mallory Fitzgerald Admin | Caution ! High Voltage
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| Sujet: Re: Lorenzo Donnovan | Hot Blooded Ven 22 Fév - 21:11 | |
| - Citation :
- « Donc je disais que si vous pouviez me donnez des info-oui moi aussi j’ai passé une soirée extraordinaire avant-hier … Quand tu veux… » Levant les yeux au ciel, il salua rapidement Deavon d’un signe de tête. Il avait entendu le bruit étourdissant de l’ascenseur, et grâce à son ouïe hyper développée, avait entendu des remarques concernant Dee et en avait déduit sa présence. Très fin.
«Veuillez patienter, quelqu’un vous répondra d’ici quelques minutes … Veuillez patienter. » Je me suis fait pipi dessus | |
| | | Lorenzo Donnovan
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| Sujet: Re: Lorenzo Donnovan | Hot Blooded Ven 22 Fév - 21:42 | |
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| | | Bryn Chasen • You burn if you approach
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| Sujet: Re: Lorenzo Donnovan | Hot Blooded Ven 22 Fév - 21:48 | |
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| Sujet: Re: Lorenzo Donnovan | Hot Blooded | |
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| | | | Lorenzo Donnovan | Hot Blooded | |
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